Avec toute cette tempête médiatique, la semaine dernière dans la ville de Montréal au sujet des frères Kostistyn et Roman Hamrlik, Pat Burns a sorti une bonne anecdote sur son blogue de corussports.com
Je le cite:
"C'est certain que les jeunes vont agir en jeunes. À mon arrivée avec le Canadien, je connaissais des policiers et d'autres intervenants dans le milieu; je leur ai demandé de m'avertir s'ils voyaient de mes joueurs dans les divers établissements. Après une victoire, c'était moins grave, mais parfois je recevais des appels, je sautais dans ma voiture et j'allais sur le rue Crescent ou chez Parée. Je rentrais dans la place juste pour qu'ils me voient... Certains allaient jusqu'à plonger à quatre pattes derrière le bar!
Mais un de mes plus beaux souvenirs est avec Paul DiPietro. On venait tout juste de le rappeler du club-école de Sherbrooke. Il connaît un gros premier match dans la LNH, en marquant deux buts. Il se retrouve Chez Parée après le match. Le portier, qui était mon ami, m'appelle, me disant que mon joueur-vedette y était. J'embarque dans mon auto. En arrivant, je le vois dans le coin, bien assis, avec ses breuvages et des artistes. Je demande au barman de lui envoyer une consommation de ma part. Quand la serveuse lui a servi, il s'est enquis de qui lui envoyait le tout. Elle m'a pointé. Je l'ai salué de la main. Il n'a fait ni une ni deux et a quitté promptement."
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